AVI 720x400 | DIVX 5 913 | MP3 128 CBR | 1h32 | Audio:English | French subtitles SRT | Art House | 700 MB | RS.com

WARNING: Viewer discretion is advised as this movie deals with drug use by a child, Physical and sexual abuse on a child (although metaphorically), offensive language, rated R in USA.

Ce film peut choquer la sensibilité de certains spectateurs, car il y est dépeint des sévices physiques et sexuels sur un enfant(métaphoriquement), l'usage de drogues et d'alcool sur un enfant. Personnes sensibles s'abstenir, classé interdit au moins de 16 ans en France.

Seven-year-old Jeremiah lived a calm, comfortable life in the care of a loving foster home until the day his young mother Sarah (Argento) came to take him against his will into her reckless life of turmoil and depravity, between desolate truck-stops, flea bag motels, strip joints, drug den and deadbeat surrogate dads until he finds himself in the custody of his ultra-religious grandparents. Having adapted to his new life as a Christian fundamentalist, Sarah returns to claim her son. Bound by a love only a mother and son could have for each other, Sarah pulls Jeremiah further and further into her dementia. When Sarah is finally and wholly consumed by drugs, prostitution and violence, Jeremiah is forced into a desperate struggle to survive the madness of his surroundings.

Jéremiah est récupérée par sa mère droguée et marginale après qu'elle l'eut abandonné. Il s'ensuit le parcours d'un enfant maltraité par sa mère, qui l'expose à sa débauche sexuelle, ne le protège pas contre les abus de ses différents amants. Balloté entre la famille de sa mère hyper relegieuse et la vie dissolue de sa mère, Jeremiah va déchoir peu à peu dans l'enfer de sa mère.

Ma critique: Diffusé hier tard sur Arte, ce film est un film d'art et d'essai. Question essai l'essai est transformé puisque le film se tient, bien que personnellement je conseille la lecture des deux romans dont est extrait le film: Le livre de Jérémie et Sarah. Question art, là aussi Asia signe un film dérangeant parfois insoutenable, mais sans verser dans le pathos ou l'esthetisation de la violence. Ni le monde dépravé et ultra libéral de la mère ni le monde ultra religieux de ses parents n'épargne cet enfant. Une bonne expérience de Cinéma. La violence n'est nullement visuelle mais métaphorique, ce qui rend le film regardable tant les malheurs de Jérémie, révulserait n'importe quel quidam normalement constitué.






http://rapidshare.com/files/105695117/Jeremiah.part1.rar

source